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;La datamasse : Par la physique quantique nous avons une meilleure idée de la datamasse physique (là où le digit matériel est égal à un) et donc de ses différentes déclinaisons personnelles, communes, intellectuelles, virtuelles. Nous pouvons à partir de cette vision chercher à la comprendre dans sa '''discontinuité''' intrinsèque (un nuage de "1" et de "0").  
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;La datamasse : <br/>Par la physique quantique nous avons une meilleure idée de la datamasse physique (là où le digit matériel est égal à un) et donc de ses différentes déclinaisons personnelles, communes, intellectuelles, virtuelles. Nous pouvons à partir de cette vision chercher à la comprendre dans sa '''discontinuité''' intrinsèque (un nuage de "1" et de "0").  
  
 
:Cette compréhension est ce que nous appelons la '''continuité'''. Des points binaires (existants ou absents) de la datamasse forment des '''sequences''' les liants entre eux (syllodonnées structurelles, ex. une fourchette) ou à nos yeux (syllodonnées phnoménales : ex. la grande ourse).
 
:Cette compréhension est ce que nous appelons la '''continuité'''. Des points binaires (existants ou absents) de la datamasse forment des '''sequences''' les liants entre eux (syllodonnées structurelles, ex. une fourchette) ou à nos yeux (syllodonnées phnoménales : ex. la grande ourse).

Revision as of 16:59, 8 December 2014

Arhitectonie Libre/Free Architectony


  • Les Grecs utilisaient des grammes (signes, écrits), d'où le datagramme de Louis Pouzin.
  • Les Romains utilisaient des nombres (chiffres, monnaie).
  • Les mécaniciens comptaient sur leurs doigts => les machines des ingénieurs aussi.
D'où le digital... que l'on compte en "bits" : oui ou non, 1 ou 0 ...'




Le but d'ALFA est de proposer une architeconie Libre de toute contrainte pouvant être utilisée comme plus petit référent commun (PPRC) pour supporter l'intercompréhension homme/machine de leur univers commun, afin que la machine reste subordonnée à la centricité de l'homme consensuellement reconnue comme esthétique de la société de l'information par la déclaration de Tunis du Sommet Mondial de la Société de l'Information (SMSI). Nous voulons une société qui soit "people centered, à caractère humain, centrada en la personna".


le PPRC d'ALFA

Le plus petit référent commun adopté est l'existance/inexistance de l'Etre traduite par les polynymes (même signification en différentes langues) sémantiques "oui/non", l'unité ou rien, la matière/vide, "1/0".
1677 : Leibniz étudie le binaire comme mode de calcul des fractions décimales, De "progresso dyadica" est publié en 1679.
1688 : la Chine s'empare des idées de Leibniz et redécouvre des travaux chinois datant de trois mille ans avant J.-C.
1703 : Leibniz publie son exposé sur le système binaire devant l'Académie des sciences de Paris dans les Mémoires
1725 : Basile Bouchon a l'idée de le matérialiser sous la forme d'un trou dans une bande : les machines peuvent compter sur nos doigts !
1728 : Jean-Baptiste Falcon, trouvant que les bandes du patron se déchiraient facilement, a pris du carton et un clou : les cartes perforées sont nées.
1745 à 1755 : Jaques Vaucanson les utilise pour commander des cylindres d'automates
1801 : La métier Jacquard (ou bistanclaque en parler lyonnais) combine les techniques des aiguilles de Basile Bouchon, les cartes perforées de Falcon et du cylindre de Vaucanson. C'est le 1er ordinateur. Loin d’être un objet de musée, le métier Jacquard n’a pas cessé d’être utilisé et amélioré. De nos jours, les métiers Jacquard, de grandes dimensions et entièrement automatisés, produisent la plupart des tissus à motifs pour l'habillement, l'ameublement, le linge de maison, etc. (wikipedia).
1834 : Babbage a l'idée d'utiliser l'approche de Jacquard sans jamais achever son projet de machine analytique que son fils construisit avec son imprimante en 1888 et en fit une présentation réussie à l'académie royale d'astronomie en 1908. En 1991, à partir de ces plans, on a pu reconstruire, avec les tolérance du XIXe siècle, cette machine qui fonctionne parfaitement.
1843: Ada Lovelace publie l'"annexe G", le premier programme informatique formel.
1936: Alan Turring publie la description de sa "machine".


le bit-bang

le bit bang est apparition du "1" en opposition au "0".
"1" est unique et sans échelle. La seule capacité du "1" est de se fournir comme donnée (datum) et d'être reçu comme captée (captum). Si il a été reçu nous avons datum = captum, "1 = 1". Il peut se répliquer ainsi sous forme de captées à l'infini, toutefois le bruit de la communication (cf. Shannon) va parfois faire que rien n'est reçu. Nous avons une perte entropique où 1 => 0".
Ceci conduit à vouloir calculer cette perte entropique sous la forme de "1 + (-1) = 0".
Ceci conduit à inférer que "0 + 1 = 1" et que l'existance de quelque chose est l'addition d'un être à l'inexistant. C'est l'ajout negentropique.
etc.
avec la remarque que "1 + (-1) = 0 = toutes les équations exactes des mathématiques.


le nuage binaire

à patir de là l'on peut imaginer la datamasse comme un nuage binaire de "1" et de "0". Il semble possible de le munir de sept dimensions qui seront :
  • pour les yeux de l'homme et des tenseurs (sensabilité aux photons/quarks) - les distances relatives dans les trois directions de :
  • la hauteur
  • la longeur
  • la largeur
  • pour les programmes de la machine :
  • les données de la forme : oui ou non à cet endroit là il y a t'il quelque chose de visible (materiel) ou non (mental)
  • les métadonnées (les données sur les données) de l'essence : c'est quoi ce qui est là ... ou pas là (negation mentale)
  • les syllodonnées (les données liant les données liées) de l'intelligence
  • pour tous : le numéro d'ordre quantique du micro-état considéré dont l'incrémentation est ... le temps.


La datamasse 

Par la physique quantique nous avons une meilleure idée de la datamasse physique (là où le digit matériel est égal à un) et donc de ses différentes déclinaisons personnelles, communes, intellectuelles, virtuelles. Nous pouvons à partir de cette vision chercher à la comprendre dans sa discontinuité intrinsèque (un nuage de "1" et de "0").
Cette compréhension est ce que nous appelons la continuité. Des points binaires (existants ou absents) de la datamasse forment des sequences les liants entre eux (syllodonnées structurelles, ex. une fourchette) ou à nos yeux (syllodonnées phnoménales : ex. la grande ourse).
A partir de cela nous allons pouvoir traiter l'information (le oui ou non de la donnée) qui nous est communiquée (le oui ou non de la captée) pour la corriger du bruit ou la continuer en intelligence avec d'autres informations reçues. Ceci est une syllogisme qui va produire agoriquement des points binaires nouveaux selon un processus que nous appellerons d'intellition car ils procède de l'évaluation par notre intelligence de ce qui lui semble être en bonne intelligence au départ. Nous connaissons bien ce phénomène par la vision, et ses erreurs possibles que sont les illusions d'optique.
Pour se résumer nous avons :
  • la datamasse qui est la réalité de l'Univers. Elle est fondée sur le tiers exclu, influencée par le tiers inclu (tout l'univers).
  • la captamasse qui est ce que nous en percevons. Elle est confusée statistiquement par le bruit.
  • la tractamasse qui est ce que notre cerveau informatiquement assisté décide d'en recevoir en se fondant sur des tiers inclus (notre cognition personnelle et de nos périphériques informatiques).