Digitalité

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Notes

Le problème architectonique premier est celui de :

  • l'Etre du postulat et du thèorème qui en résulte : qui par nature est continu (sans début ni fin) et qui s'appliquera toujours.
  • et de l'existence des valeurs qui sont nécessairement discontinues car liées à une situation ayant un début et une fin, par exemple un microétat.

C'est ainsi que deux domainess sont à considérer:

  • Le numérique implique la continuité d'une fonction acceptée par la pensée :
Bernard Bolzano dans sa théorie des fonctions définit la continuité par : « La fonction f(x) varie suivant la loi de continuité pour la valeur x si la différence |f(x + w) – f(x)| peut-être rendue plus petite que toute valeur donnée. » (Prague 1816). Augustin Louis Cauchy définit la continuité en x par : f est continue en x si la valeur numérique de la différence f(x + a) – f(x) décroit indéfiniment avec celle de a, utilisant ainsi les notions des infiniment petits.
  • la digitalité implique une situatiopn digitalement descriptible.
Erwin Schrödinger dans « Qu’est-ce que la vie ? » : « La grande révolution de la théorie des quanta fut que des caractères de discontinuités furent découverts dans le Livre de la Nature, dans un contexte où tout autre chose que la continuité apparaissait comme absurde d’après les vues admises jusqu’à ce moment. »

On peut en inférer que nous sommes confrontés à quatre faces que nous connaissons bien d'un même monde où la succession des choses va être :

  • inférentielle et continue : l'universel.
  • inférentielle et discontinue : le structurel.
  • temporelle et continue : le mémoriel.
  • temporelle et discontinue : l'événementiel.